samedi 1 septembre 2012

le brounie Ikéa






C'est dans ce flou total que je reprend le blog pour la saison 12-13.
Un flou de brounie.
Très bon ! Dur mais moelleux, croquant, avec des noix et un fort chocolat.
Un industriel parfait, sans le sucre glacé que je déteste.

J'actualise plus les photos que le blabla.
Mais je vais revoir 2001 et je pense que je vais vous en parler.

samedi 9 juin 2012

7 dias en la Habana

Mais quel bonheur !
Quel plaisir de voir un film occidental sur Cuba sans passer par la case "Cuba est une dictature, Cuba est une prison" !!

Ce film à sketchs lancé par Benicio Del Toro propose un regard sur la société moderne de Centro Habana. Même s'ils sont complètements inégaux, ces 7 courts donnent une lecture d'un scénario de Leonardo Padura fraiche et spontanée.
On peut sentir que les réals ne sont pas arrivés à Cuba en se disant "nous sommes les nouveaux porteurs du cri des Cubains, les témoins de l'agonie". Non, ils ont su délaisser leur point de vue d'étrangers, de touristes (ou pas) et ont réussi à ne pas se laisser prendre par les clichés.
Bien sur nous n'échappons pas au dilemme du départ, à l'homosexualité, à la Santeria. Mais on peut retrouver de vraies valeurs cubaines, l’accueil, le partage, la solidarité face à la difficulté du quotidien.

Parceque le jeune touriste seul en soirée ne se fait pas dépouiller, parceque les relations familiales sont plus importantes que tout et parcequ'un voisinage peut refaire l'appartement d'une dame en une journée. Ce sont aussi ces réalités qui n'apparaissent pas dans les médias occidentaux et qui font partie de Cuba.
Cuba n'est pas que Castrisme, prostitution, tourisme consumériste et Che Guevara.
Le discours de Fidel ressemble à une messe sacrée venant d'ailleurs, l'exorcisme par la Santeria heurte le spectateur qui ne connait pas. Il y a dans ce Cuba un autre monde, celui d'un peuple sur une île qui a su se préserver d'un capitalisme destructeur et à qui les difficultés ont appris à mener une vie solidaire, franche et sensuelle.

mardi 10 avril 2012

CTB street contest



Le 21 avril on organise une Jam de street monocycle à Lyon.
Les monocyclistes se rassemblent pour une session "normale" mais certains s'inscrivent pour être jugés. On départagera le meilleur et la plus belle figure.
C'est l'occasion de regrouper les riders du coin et de plus loin pour rouler ensemble dans une bonne ambiance.
Ca va être chouette

vendredi 6 avril 2012

barreaux de chaise


Depuis que j'aime bien ça je commence à les repérer dans les films ou séries que je regarde.
Ici c'est à la fin de la saison 1 de Breaking Bad. Walter et son beauf fument un Cohiba, possiblement un Siglo II. On peut voir sur le screenshot que celui de Walter n'est même pas coupé. Gâchis !

On verra plus tard un autre Cubain dans Mad Men, où même s'ils passent leur temps à picoler et fumer, les cigares y sont très rares.

lundi 12 mars 2012

Teumbeulare

J'ai entamé http://enroutepourlenthousiasme.tumblr.com/
pour mettre des photos et des citations.
on verra où ça nous mène, ce sera plus propre et plus clair qu'ici.
Aujourd'hui je suis à la source, là où l'on produit le français lambda et où on se marre plus qu'ailleurs.

samedi 3 mars 2012

Plaza de la revolucion

Je ne l'avais pas postée ici. J'ai fais pas mal de monocycle à Cuba, sans pour autant en faire une vidéo.
Rouler dans les rues c'est déjà un peu de tout terrain et cette ville magnifique qu'est la Havane propose un nombre exceptionnel de spots incongrus, où la police te regarde avec étonnement (comme partout en fait).
J'ai beaucoup appréhendé de sortir à mono, mais c'est beaucoup moins dur à assumer que ma tête de touriste, à mono tu restes un "payaso" en France comme à Cuba.
Une rando dans l'île en 29.... pourquoi pas...

vendredi 24 février 2012

Coup bas

De retour de la Habana, après ce mois de février tropical, le contraste est rude.
J'ai plein d'images, de photos et une cassette de film.
Sans visa journaliste il m'est vite apparu qu'il me serait très difficile de filmer dans la rue, en dehors des zones touristiques. Sous peine de m'attirer des emmerdes délicates. J'ai donc laissé tomber l'investigation par l'image suggestive et j'ai privilégié le discret. J'ai mis une semaine avant d'accepter mon statut de touriste et de me sentir à l'aise dans ce monde parallèle où je suis devenu le possédant.
J'ai vite rencontré des Cubains, des jeunes, sympas, désintéressés, avec qui je pouvais discuter et faire la fête. Au bout de deux semaines, ma vision occidentale formatée avait disparu, laissant place à un flegme pragmatique, généré par l’empathie que m'inspirait cette société.


Mais je ne les ai pas filmés, ça aurait cassé le rapport de discussion sincère et libre qui s'était mis en place. Et je pense avoir plus appris sur leur quotidien de cette manière.
Pour le reste, j'ai des images de vie quotidienne, de lieux, qui je pense traduisent assez bien l'ambiance de vie dans le centre de la Habana.
Le film que je vais tenter de faire sera sur cette réalité que j'ai perçue, en retour de la vision préconçue que j'avais avant ce voyage. Raconter ce que j'ai vu, ce qui peut être compris par un occidental de ce paradoxe total que m'a semblé être la vie havanaise.

mercredi 4 janvier 2012

retour à Clermont

cette année, j'ai la chance de pouvoir retourner au Festival International du Court Métrage de Clermont Ferrand
mais cette fois je ne suis ni étudiant, ni bénévole, mais réalisateur
et c'est TROP CHOUETTE
mon film Les gens de mon pays est disponible au marché du film et j'ai une accréditation avec mon nom et pis tout
la grande classe
je suis content, content, content !

puis ça tombe bien, cette année c'est rétrospective du court métrage cubain !

pas très longtemps tout de même, je repartirai vite fait pour prendre l'avion...